Paccar inc

Paccar PCAR rappelle 116.343 camions en raison de connecteurs mal sertis dans le levier de vitesse qui pourraient augmenter le risque d'accident, a déclaré jeudi l'Administration nationale américaine de la sécurité routière (National Highway Traffic Safety Administration) (NHTSA).
PACCAR Inc 
PCAR a battu les estimations de bénéfice et de chiffre d'affaires du quatrième trimestre mardi, grâce à une demande soutenue pour ses modèles de camions économes en carburant .

Les actions du constructeur américain de camions étaient en hausse de 1,5 % dans les échanges avant bourse.

L'entreprise, qui fabrique des camions sous les marques Kenworth, Peterbilt et DAF, a constaté une demande croissante pour ses véhicules à pile à hydrogène et à batterie, car de plus en plus de consommateurs se tournent vers les véhicules électriques et les moteurs sans émissions.

, car la demande d'équipements industriels aux États-Unis a été stimulée par l'initiative de l'administration Biden visant à améliorer les transports et les infrastructures, à hauteur de 1,2 billion de dollars.

Cummins CMI, Daimler et PACCAR ont annoncé leur coentreprise (link) l'année dernière pour accélérer la fabrication de cellules de batteries avancées aux États-Unis. Dans le cadre de ce partenariat, l'usine de 21 gigawattheures située dans le Mississippi devrait commencer à produire en 2027.

PACCAR prévoit que les ventes au détail aux États-Unis et au Canada de ses camions lourds de classe 8 se situeront entre 260 000 et 300 000 camions en 2024.

"Les dépenses d'infrastructure et le remplacement des camions plus anciens stimulent la demande de camions Kenworth et Peterbilt", a déclaré Darrin Siver, vice-président exécutif de PACCAR.

La société basée à Bellevue, dans l'État de Washington, a déclaré un bénéfice de 2,70 dollars par action pour le trimestre clos le 31 décembre, dépassant les estimations de 2,22 dollars par action du LSEG.

Le chiffre d'affaires trimestriel de la société s'est élevé à 9,08 milliards de dollars, contre une estimation moyenne des analystes de 8,35 milliards de dollars, selon les données de LSEG.

Marches boursiers premier trimestre 2024

Au cours du premier trimestre de 2024, les marchés boursiers européens ont fait face à une série de défis et d’opportunités. La période a été caractérisée par une volatilité accrue, influencée par des événements économiques, géopolitiques et sanitaires. Les investisseurs ont continué à naviguer dans un environnement marqué par les incertitudes liées à la pandémie de COVID-19, malgré les progrès dans les campagnes de vaccination et les efforts de relance économique.

Les résultats des entreprises ont été un point focal majeur au cours du trimestre, avec des réactions mitigées sur les marchés aux rapports trimestriels. Certains secteurs, tels que la technologie et la santé, ont affiché une résilience, tandis que d’autres, comme les services financiers et l’énergie, ont été plus volatils en raison des préoccupations macroéconomiques et des incertitudes réglementaires.

Les développements géopolitiques ont également influencé les marchés, avec une attention particulière portée aux tensions commerciales internationales, aux négociations sur le Brexit et aux relations entre les États-Unis, la Chine et la Russie. Ces facteurs ont contribué à une certaine prudence parmi les investisseurs, qui ont cherché à évaluer les risques potentiels pour leurs portefeuilles.

Malgré les défis, certains indicateurs économiques ont montré des signes d’amélioration, alimentant l’optimisme quant à une reprise économique progressive. Cependant, les incertitudes persistent quant à la trajectoire de la reprise, et les investisseurs demeurent attentifs aux développements futurs qui pourraient influencer les marchés financiers européens.

Bourse US de la semaine.

Voici un résumé de la semaine à la bourse américaine :

La semaine à la bourse américaine a été marquée par une série de fluctuations et de développements significatifs sur les marchés financiers. Les principaux indices boursiers, tels que le Dow Jones Industrial Average, le S&P 500 et le Nasdaq Composite, ont connu des mouvements volatils tout au long de la semaine.

Les investisseurs ont réagi à plusieurs nouvelles économiques et géopolitiques, notamment les indicateurs économiques clés tels que les données sur l’emploi, l’inflation et la croissance économique. Les résultats des entreprises ont également été un facteur majeur, avec des réactions positives ou négatives aux annonces de résultats trimestriels.

Les secteurs technologiques, de la santé, de l’énergie et des services aux consommateurs ont été particulièrement actifs, avec des mouvements importants dans les actions individuelles de ces secteurs.

Les investisseurs ont également surveillé de près les développements géopolitiques, tels que les négociations commerciales entre les États-Unis et la Chine, ainsi que les tensions au Moyen-Orient et en Europe de l’Est.

En outre, les discussions sur la politique monétaire de la Réserve fédérale américaine ont attiré l’attention, avec des spéculations sur le calendrier et le rythme des hausses de taux d’intérêt.

En résumé, la semaine à la bourse américaine a été caractérisée par une volatilité accrue et une réaction aux événements économiques, aux résultats des entreprises et aux développements géopolitiques. Les investisseurs ont été attentifs aux nouvelles informations et ont ajusté leurs positions en fonction des fluctuations du marché.

EUR CHF

Voici une analyse du graphique de la paire de devises EUR/CHF depuis le 23 août 2021 jusqu’à aujourd’hui :

Depuis le 23 août 2021, la paire de devises EUR/CHF a connu une tendance baissière globale, marquée par une série de creux et sommets descendants. Cette tendance a été influencée par plusieurs facteurs, notamment les politiques monétaires divergentes entre la Banque centrale européenne (BCE) et la Banque nationale suisse (BNS). La BCE a maintenu une politique monétaire accommodante, tandis que la BNS a continué d’intervenir sur le marché des changes pour limiter l’appréciation du franc suisse.

Au cours de cette période, nous avons observé plusieurs événements économiques et géopolitiques qui ont influencé les mouvements de la paire EUR/CHF. Ces événements comprenaient les inquiétudes persistantes concernant la pandémie de COVID-19, les tensions commerciales entre les États-Unis et la Chine, ainsi que les incertitudes entourant le Brexit.

Sur le plan technique, le graphique de la paire EUR/CHF a montré une forte résistance autour du niveau de 1,1000, avec plusieurs tentatives de cassure infructueuses à la hausse. En revanche, le support clé a été identifié près du niveau de 1,0800, où la paire a rebondi à plusieurs reprises.

Au fur et à mesure que la période analysée avance, les traders surveilleront de près l’évolution des politiques monétaires des deux banques centrales, ainsi que les indicateurs économiques clés de la zone euro et de la Suisse. Les annonces de la BCE et de la BNS concernant les taux d’intérêt, les programmes d’assouplissement quantitatif et les interventions sur le marché des changes auront probablement un impact significatif sur la paire EUR/CHF.

En conclusion, le graphique de la paire EUR/CHF depuis le 23 août 2021 jusqu’à aujourd’hui montre une tendance baissière, avec des niveaux de support et de résistance clés à surveiller. Les traders devraient être prudents et utiliser une analyse approfondie des fondamentaux et des techniques pour prendre des décisions éclairées sur cette paire de devises volatile.